1 jour au Graspop Metal Meeting

by Alichon

Cet article est une archive. Il a été publié pour la première fois le 22 juin 2016.

Hello !! 😀 Vous allez bien ? 🙂

Un peu à la dernière minute, Marc a embarqué un pote et moi-même pour aller une journée au Graspop Metal Meeting, festival qu’il considère comme sa maison (un peu comme moi avec le Pukkelpop). Ça fait 3 ans que j’en entends parler en long, en large et en travers, j’avais donc hâte de le voir de mes propres yeux !

Nous y avons été samedi, en guettant la météo avec appréhension les jours précédents. Ça s’annonçait super bien au début et puis… j’ai porté un k-way en plastique orange toute la journée pour pas être trempée ! 😀

Quelle belle boue

De mon côté, toute cette flotte, ça a pas mal entamé le festival. J’ai pris des vieilles chaussures (mais c’est pas parce qu’elles sont vieilles que je ne les aime plus, que du contraire) pour ne pas en abîmer de nouvelles et elles sont dégueulasses. L’organisation avait prévu de mettre des écorces de bois sur la boue et ça fonctionne plutôt bien… tant qu’il ne pleut pas par-dessus. Je sentais mes pieds s’enfoncer dans plusieurs centimètres de terre inondée. Donc au final je faisais des tours et des détours pour essayer de ne pas perdre mes chaussures 😀

On a quand même eu un peu de soleil entre les averses pour notre plus grand bonheur ! Pour vous parler un peu d’autre chose que la météo je vais quand même parler un peu du but premier du festival : la musique. Il y a un truc très chouette au Graspop, ce sont les deux mainstage côte à côte. Si bien qu’il y a grand maximum 20 minutes entre deux concerts de ce côté-là du terrain. Pendant qu’un groupe joue sur la première, les techniciens s’occupent des réglages et du montage sur la deuxième.

Par contre, en-dehors de la musique, il y a peu d’animations. Le match de foot était diffusé en direct à deux endroits et il y avait bien une grande roue mais, à titre personnel, je trouve ça pauvre si on compare au Pukkelpop. Le Graspop lui, se concentre donc davantage sur la musique.

Au niveau de la nourriture et des boissons, on retrouve les stands habituels des festivals en Flandre. Les tickets/jetons ont augmentés d’ailleurs. Pour 50€, vous recevez 18 jetons. Soit, 1 jeton = 2,75€. J’ai acheté un petit burger de poisson, c’était 2,5 jetons, soit presque 7€ pour un petit burger de rien du tout.

La plupart des boissons (bière, soft…) sont elles aussi à 1 jeton. Les bouteilles d’eau sont des petites Chaudfontaine de 33 cl. 2,75€ pour 33 cl. Et ils ne vous donnent pas le droit de garder le bouchon pour aller la remplir au point d’eau potable après… Ça n’empêche toutefois pas de la garder dans sa poche et de la remplir quand on passe près des points d’eau en question.

Quant au stand de merchandising, il est bien fourni ! Il y avait même un essuie aux couleurs du festival ! Et à ma grande surprise, Marc s’est contenté d’un tee-shirt et de l’essuie en question.

Le plus gros point négatif pour moi arrive maintenant : en une journée au Graspop, on m’a vachement plus emmerdée qu’en trois jours au Pukkelpop. Entre les mecs qui soulèvent ton k-way pendant que tu prends une photo et que tu fais pas gaffe pour voir ton cul moulé dans ton jeans et ceux qui veulent absolument commander pour toi quand tu vas au stand de boisson comme si tu ne savais pas le faire toi-même, ça gonfle ! Et je ne parle même pas de ceux qui veulent savoir si t’as pas froid avec la pluie, si tu peux les prendre en photo pour garder un souvenir d’eux et blablablabla. Dans la rue je m’en sors assez facilement avec un « Nas ne dogonyat » ou un autre titre d’une chanson de t.A.T.u. Sauf que, ici, l’alcool aidant, souvent, on ne te lâche juste pas la grappe. Et tirer la gueule pour qu’on te foute la paix ne fonctionne pas non plus parce qu’après on te demande de souriiiiiire hein.

Ce festival m’a tout de même permis de tester mon nouveau joujou, acquis notamment pour les festivals et quand je n’ai pas envie de prendre mon reflex : le Canon Powershot G9. Je l’aime d’amour, il me convient parfaitement ! Je peux le régler sans soucis et rapidement pour prendre mes photos !

Etant donné les mesures de sécurité renforcée en Belgique, je m’attendais à devoir passer du temps aux portiques et à quelques questions sur l’appareil ou quoi mais… non. J’ai fait la file pour les sacs et au final on n’a même pas regardé le contenu parce qu’il est tout petit. Pas sûre que ça se passera comme ça à Werchter quand je prendrais mon sac à dos.

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